PARIS (Reuters) – La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris a maintenu jeudi les mises en examen de l’islamologue Tariq Ramadan pour viol et viol sur personne vulnérable.
Les magistrats ont confirmé la décision des juges d’instruction saisis du dossier, qui avaient rejeté en juillet dernier la demande d’annulation déposée par la défense du théologien.
Remis en liberté en novembre après plus de neuf mois de détention, l’intellectuel reste donc sous le coup des mises en examen prononcées dans le cadre d’une procédure déclenchée par les plaintes de deux femmes disant avoir été agressées, l’une en 2009, l’autre en 2012. Tariq Ramadan conteste ces accusations.
Emmanuel Jarry, édité par Simon Carraud