L’humoriste Constance a tombé le haut pendant une chronique sur France Inter afin de dénoncer les « puritains ». «Pour cette rentrée, j’ai une folle envie de vous parler seins», a-t-elle d’emblée lancé.
«Si je vous parle roploplos, c’est que je suis bien calée en la matière. Je fais un 90E pour 1m60 ce qui signifie que je rentre systématiquement dans une pièce 10 minutes après mes tétons…»
Cette chronique faite seins nus était pour elle un geste de mépris « à ces moralisateurs qui nous disent qu’on est pervers avec notre peau qu’on aère alors que eux ils ont juste un problème avec leur zizi».
Dans une séquence rare qui s’est jouée mardi matin sur la même station, lorsque le ministre de la Transition écologique français, Nicolas Hulot, a annoncé en direct sa démission à des intervieweurs éberlués, à la surprise générale.
C’est seulement après quelques minutes d’interview que l’ex-animateur d’Ushuaïa concède qu’il se sent « seul à la manoeuvre »au gouvernement pour lutter contre la tragédie climatique ».
A Nicolas Demorand, coanimateur de la matinale, qui lui demande s’il va du coup rester dans ses fonctions, Nicolas Hulot devient soudain solennel: « Je vais prendre pour la première fois la décision la plus difficile de ma vie. Je ne veux plus me mentir. Je ne veux pas donner l’illusion que ma présence au gouvernement signifie qu’on est à la hauteur sur ces enjeux-là et donc je prends la décision de quitter le gouvernement. »
« Vous êtes sérieux, là? », lui lance Léa Salamé, avec une expression totalement éberluée.
La journaliste précise à l’attention des auditeurs que le ministre n’avait « absolument pas prévenu qu’il allait annoncer sa démission bien au contraire ».