Nice, — « L’assaillant de l’attentat de Nice est un Tunisien arrivé il y a très peu de temps par Lampedusa, » selon Eric Cioti, député LR (Les Républicains) des Alpes-Maritimes depuis 2007, président du conseil départemental des Alpes-Maritimes.
L’assaillant de l’attentat de Nice est un tunisien arrivé il y a très peu de temps par Lampedusa.
Avec la crise sanitaire et sécuritaire, plus aucune entrée ne doit être tolérée !
Suspendons toutes les procédures d’asile et la délivrance de visa depuis les pays à risque !
— Eric Ciotti (@ECiotti) October 29, 2020
Le suspect a dit s’appeler « Brahim » et être âgé de 21 ans et serait arrivé début octobre sur le sol français depuis l’île de Lampédusa en Italie. Pour autant son identité n’était pas encore formellement établie en fin de matinée.
Il aurait également indiqué avoir agi seul et revendiqué son acte terroriste selon FranceInfo, qui cite une source policière. La police a pris ses empreintes digitales.
Le terroriste de Nice est un Tunisien récemment arrivé en France #AttentatNice @ParisMatch
— Bruno Jeudy (@JeudyBruno) October 29, 2020
« Avec la crise sanitaire et sécuritaire, plus aucune entrée ne doit être tolérée ! Suspendons toutes les procédures d’asile et la délivrance de visa depuis les pays à risque, » a-t-il ajouté sur son compte Twitter.
Je suis solidaire avec les françaises et les français contre l’acte barbare terroriste commis par un compatriote dont j’ai honte .
— Bochra Bel H Hmida (@h_bochra) October 29, 2020
L’assaillant armé d’un couteau s’écriant « Allah Akbar » a décapité une femme et tué deux autres personnes dans une attaque présumée terroriste survenue jeudi matin en plein cœur de Nice, où s’est rendu le président Emmanuel Macron.
Des mots émouvants juste avant de mourir
Une des victimes de l’attaque qui a eu lieu à Nice ce jeudi matin a eu des mots émouvants juste avant de perdre la vie.
Selon BFM TV, une des victimes est une dame d’une quarantaine d’années, qui a été égorgée par l’assaillant : « Le terroriste a essayé de la décapiter mais n’y est pas parvenu », raconte un correspondant de BFM.
« Les secours sont venus auprès de cette dame qui était encore vivante et qui a réussi à parler aux secours. Elle leur a dit précisément « Dites à mes enfants que je les aime » juste avant de décéder ».
L’attaque à Nice intervient deux semaines seulement après l’assassinat de Samuel Paty, professeur de collège décapité par un réfugié d’origine tchétchène quelques jours après avoir montré en classe des caricatures de Mahomet.